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LA PASSION DE L'IMMOBILIER, DE PÈRE EN FILS

19-03-2024

TASSILO BOSCACCI INCARNE LA VISION ET LA PASSION D'ATTICA IMMOBILIER, ENTREPRISE ÉTABLIE IL Y A DE NOMBREUSES ANNÉES EN SUISSE. NÉE À LAUSANNE, APRÈS QUELQUES ANNÉES DANS LA FINANCE ET LA GESTION DE PROJET, TASSILO BOSCACCI S'EST RAPPROCHÉ DE LA VOCATION FAMILIALE, INSPIRÉ DEPUIS TOUT JEUNE PAR SON PÈRE QUI POSSÈDE UNE EXPERTISE DE PLUS DE 40 ANS DANS LA PROMOTION IMMOBILIÈRE.

Que ce soit dans la vente en plaine ou en montagne, l’ADN d’Attica Immobilier se distingue par son service et son engagement sur-mesure pour tous ses clients et pour tout type de bien immobilier.

Tassilo Boscacci, quels sont les principaux services que vous offrez ?

Nous nous spécialisons dans le courtage ou la revente, ainsi que dans la promotion immobilière. Ce qui nous distingue, c’est notre structure à taille humaine, qui favorise une relation étroite avec aussi bien les vendeurs que les acheteurs privés comme institutionnels. Notre volonté n’est pas d’avoir juste un grand volume de biens immobiliers, mais plutôt d’en proposer soigneusement, évalués et construits, pour pouvoir consacrer du temps à nos clients et comprendre pleinement leurs besoins. En conséquence, environ 90 % de nos mandats sont exclusifs, ce qui signifie qu’aucune autre agence n’a accès à ces propriétés. Nous acceptons ces mandats à des prix que nous jugeons justes, avec parfois une certaine marge, ce qui garantit une transaction équitable pour toutes les parties impliquées.

Comment votre approche sur-mesure diffère-t-elle des pratiques plusstandardisées que l’on trouve souvent dans l’industrie immobilière ?

Auparavant, à l’époque de mon père, une transaction immobilière impliquait souvent seulement deux parties : un acheteur et un vendeur. Mais aujourd’hui, il y en a trois : l’acheteur, le vendeur et la banque. L’acquisition d’un bien immobilier ne peut plus se faire sans l’accord préalable d’un établissement financier. C’est pourquoi nous nous efforçons d’être alignés au marché, ce qui se traduit par des mandats qui sont peu de temps sur le marché. Notre approche repose principalement sur les recommandations, sans recourir à un marketing excessif. Nous entretenons des relations durables avec nos clients ; certains d’entre eux reviennent après dix ans, soit pour revendre, soit pour nous recommander à d’autres personnes souhaitant acheter ou vendre. Nous établissons ainsi un réseau de proximité avec nos clients sur du long terme, ce qui nous permet même de ne pas rendre public certains mandats (environ un sur cinq). Lorsque nous obtenons de nouveaux mandats, nous savons qu’ils sont au bon prix, nous contactons donc directement nos clients car notre objectif est aussi de leur offrir des exclusivités en lien avec leur confiance qu’ils nous portent. De plus, nous leur offrons diverses prestations, notamment un conseiller en financement hypothécaire qui travaille avec plusieurs établissements bancaires pour proposer des conditions de financement variées, ainsi que l’accès à plusieurs notaires et à des entreprises compétentes dans la transformation et la rénovation.

Quels sont les conseils que vous donneriez aux familles qui envisagent d’acheter ou de vendre une propriété en Suisse ?

Pour les acheteurs potentiels, la première étape cruciale consiste à évaluer leur capacité d’emprunt, afin de définir un budget réaliste pour leurs recherches. Ensuite, il est essentiel pour eux de planifier non seulement leurs besoins immédiats en matière de logement, mais aussi de projeter leurs besoins sur cinq à dix ans. Quels sont leurs projets de vie à venir ? Envisagent-ils de construire ou agrandir leur famille, de déménager, etc. ? Bien que la situation puisse sembler complexe, il est généralement plus avantageux d’être propriétaire que locataire si l’on dispose des fonds nécessaires, en fonction de sa vision à court, moyen ou long terme. Et considérer qu’il faut environ dix ans pour réaliser une plus-value significative sur un bien immobilier.

Pour les vendeurs, l’important est d’obtenir des conseils appropriés sur la valeur de leur bien. Autrefois, il était courant de tester le marché en vendant un bien avec une marge supérieure à sa valeur réelle, car les acheteurs investissaient davantage de fonds propres. Cependant, dans le contexte économique actuel, les banques et les acheteurs sont plus enclins à rechercher des transactions au prix juste. Cela signifie que les vendeurs doivent également ajuster leurs attentes et proposer leur bien à un prix équitable.

Quels sont les principaux défis auxquels une famille peut être confrontée lorsqu’elle cherche à acheter ou vendre un bien en Suisse et comment Attica aide-t-elle les familles à les surmonter ?

Trouver un bien immobilier qui corresponde à leurs besoins et à leur budget, puis pouvoir le visiter rapidement et entamer les démarches bancaires constitue le défi majeur pour les acheteurs. Actuellement, le marché immobilier suisse est peu fourni, ce qui exige une grande réactivité. C’est pourquoi nous proposons les services d’un conseiller en financement hypothécaire. Ce professionnel peut rapidement solliciter une, deux voire trois banques pour obtenir des financements adaptés à nos clients. En somme, le défi pour les clients d’aujourd’hui est de trouver le bon bien immobilier, de gérer efficacement les formalités administratives, mais surtout de prendre la bonne décision.

Quels sont vos projets futurs ?

Personnellement, père de jeunes jumeaux, je suis de plus en plus sensible à leur avenir, de leurs futurs besoins d’un logement qui ne cesse de se tarir, aux enjeux de durabilité et d’écologie. Attica Immobilier a donc comme ambition de prolonger son activité de conseil et vente, de poursuivre sa recherche d’opportunités, comme des terrains, pour construire de nouveaux projets et de faire perdurer cette relation de proximité avec tous ceux qui nous font confiance.

Page 11: https://issuu.com/smart_media/docs/2403_top_jom_ma_famille

Interview Océane Ilunga

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