LE CHARITY GALA DINNER D’ACLEM

Il faut remonter à 1999 pour comprendre l’essence et la force de l’action de cette fondation, dont le nom rappelle son insti- gatrice : Clementina Kümin Bianchi. Trois jours avant sa dispa- rition, le 11 janvier 1999, AClem voyait le jour, une fondation dévouée à la cause des plus démunis et des personnes en souffrance dans le monde : les enfants.
Depuis cette date, Laura et Rosario Boscacci d’une part mais aussi l’ensemble des bénévoles, des parrains et des marraines ne ménagent pas leurs efforts pour contribuer à aider les en- fants pauvres et les orphelins en Afrique et en Asie. Les activités professionnelles dans le secteur immobilier de Rosario et Laura permettent notamment de financer une bonne partie des besoins de la fondation. Depuis 2012, Attica Art, une société d’art, contribue également à la poursuite de cette noble cause.

C’est dans le cadre prestigieux du Beau Rivage Palace de Lausanne que les 260 amis de Rosario et Laura se sont réunis pour le tout premier dîner de charité d’AClem et il n’en fallait pas moins pour que chacun puisse témoigner de son engagement et de son soutien. Les ventes aux enchères et la loterie permettaient à chacun de contribuer à sa mesure et ne manquaient pas de lots prestigieux : 2 semaines aux Maldives dans des villas de 600 m2, des séjours en 5 étoiles aux Seychelles, au Sri Lanka et à Crans Montana, de l’Art et des produits tendance, du wellness, du médical, des sorties en hélicoptère, en BMW i8, Mini et Maserati et bien d’autres lots encore, tous offerts par des Ami(e)s.

Les ventes aux enchères

et la loterie permettaient 

à chacun de contribuer 

à sa mesure et ne manquaient 

pas de lots prestigieux

Derrière cette soirée, personne n’oublia la raison qui poussa à l’organisation de ce gala de charité, et les résultats sont à la hauteur des projets soutenus puisque ce ne sont pas moins de 296’000.—CHF nets qui ont été collectés. Pour que la joie l’emporte, c’est sous les couleurs de l’Afrique que les 260 convives ont pu « se défouler » au «Djembé» ou alors danser.

Parce que toutes les rencontres sont porteuses d’espoir et de rêves, le spectacle « Do you speak Djembé ? » aura égale- ment permis à la Fondation AClem de collaborer à un nou- veau projet au Sénégal avec son producteur, Manuel Doug. Les montants récoltés à la soirée de charité AClem, auront permis, quant à eux, de construire en 3 mois, 2 maisons dans les arbres au Vanuatu pour financer un centre d'accueil pour bébés et mamans et de boucler également la phase 1 d'un nouvel orphelinat-ecole en Birmanie. Les orphelins de Birmanie ont vécu, eux aussi, sans même le savoir, une soirée inoubliable et essentielle pour leur avenir. 

Enseignement, santé, 

alimentation, vie quotidienne... 

les actions concrètes

et quotidiennes d’AClem sur 

le terrain sont la trace indélébile 

de cette humanité retrouvée

Sous l’acronyme EKO (Elephants Kids), AClem poursuit son en- gagement en Ouganda, qui reste l’un des plus pauvres mais aussi des plus jeunes du monde. Enseignement, santé, alimenta- tion, vie quotidienne, ..., les actions concrètes et quotidiennes d’AClem sur le terrain sont la trace indélébile de cette huma- nité retrouvée.

Vivement, la prochaine édition.